Fatalisme : M.A.K My Life… Ou Presque Xv

Le dernier dimanche de Novembre, ils sont les deux dans la chambre. Moi dans la mienne. Je devais aller me nettoyer après le passage de Mathieu dans mon cul. Et son départ pour sa garde de nuit.
Dans le couloir j’entends Margot. La porte est fermée.
- Non Kemb ! C’est ça ou rien Kemb… Tu comprends… Ne m’oblige pas…
Kemb est sorti furieux. Il était habillé. Les portes de la chambre puis de la maison ont claqué. J’osais pas aller voir ma femme.
En retournant dans ma chambre, j’ai cru entendre des sanglots.
Longtemps après, elle est venue.
- Je peux dormir avec toi Didou…
Elle s’est couchée, collé contre moi.
- Qu’est qui se passe Margot ?...
- Rien Chéri… Rien… Serre-moi contre toi… Comme avant…
- Il ne t’as pas fait de mal….
- Non Chéri bien sûr que non….
Et elle ajoute d’une voix bizarre
- Il y a que toi qui peut me faire du mal.
Elle met son doigt en travers de ma bouche.
- Chut maintenant et dodo.

Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XV
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Décembre 2003
Samedi Petit Déjeuner : Kemb assis à table en short et polo, moi debout déjà équipé sous mon jogg. Margot nue sous sa robe de chambre. Je sers le café.
Coups de sonnette impératifs qui nous font sursauter.
Intriguée Margot va ouvrir. On entend son cri de surprise.
Voix de ma mère et cris de joie de la petite.
Panique dans la cuisine. Regards affolés entre Kemb et moi. La voix de ma mère dans le couloir.
- Elle a eu de la fièvre toute la nuit. Excuse- moi de te déranger.
Elle entre dans la cuisine. S’immobilise muette. Regarde Kemb qui se lève en vitesse. Il est en polo et en short de basket. Tout de blanc vêtu. Un athlète d’un mètre quatre-vingt-dix de muscles noirs qui regarde ma mère en essayant de garder une contenance..
- Bonjour Madame.
Elle me regarde d’un air interrogateur. Le temps qui se fige. L’air qui s’épaissit.

Je serre les fesses de toutes mes forces. Jamais je n’ai autant senti ce putain de plugg. J’espère que ma voix est assez ferme.
- Bonjour Maman, je te présente François, c’est un ami du foot. Euh il passe le week-end avec nous.
- Bonjour jeune homme.
Elle lui lance un regard que je connais bien. Un regard de Laser. Echanges de regards entre nous, muets à cause de la petite. Cela dure à peine trois secondes avant qu’elle ne se tourne vers Margot.
- Il faudrait appeler le médecin je ne suis pas tranquille.
Kemb s’approche de ma mère.
- Permettez-moi Madame, je…
Kemb veut prendre Mathilde des bras de Margot.
C’est mal connaître ma mère qui l’apostrophe d’une voix hautaine :
- Vous êtes peut-être médecin jeune homme ?...
- Urgentiste Madame, médecin urgentiste.
C’est dit avec beaucoup de déférence envers ma mère qui se tait. Etonnée par la profession et subjuguée par le physique, le charisme puis, par la douceur quand il ausculte Mathilde.
La petite rigole avec lui. Kemb lui fait des papouilles. Ma mère échange des regards avec Margot qui dans un premier temps baisse les yeux avant de les relever fièrement . Prête à affronter la tempête qui s’annonce.
C’est con et incompréhensible, mais je suis fier de ma femme.
- Margot peux-tu aller chercher ma trousse s’il te plaît.
Ma mère ne laisse pas passer l’occasion.
- Je l’accompagne.
Les deux femmes sortent. Kemb me regarde. C’est la première fois que je le vois inquiet et aussi tendu. Je le suis aussi. Mathilde s’accroche à son cou. Il la câline doucement. Nous entendons des mots mais nous n’arrivons pas à comprendre le sens de la discussion entre ma femme et ma mère. Un long conciliabules d’échanges tendus.
Elles reviennent. Margot le visage fermé, tend la mallette à Kemb. Ma mère me dévisage en silence. Il y a de tout dans le regard. De l’étonnement, de l’amour et de la peine.
Pendant que Kemb ausculte Mathilde, je m’éclipse à reculons pour aller aux toilettes me débarrasser du plugg.
Quand je reviens ma mère boit un café en parlant futilité avec Margot. Mathilde se jette dans mes bras :
- Le Monsieur Docteur il a dit que c’est rien. Il est gentil le Monsieur Docteur.
Kemb a fini de rédiger l’ordonnance qu’il tend à Margot.
- Merci. François, André va aller chercher Julien.
Et se tournant vers ma mère :
- Merci infiniment belle-maman, nous allons récupérer les s.
Et là ma mère se tournant vers Kemb
- Mathilde n’a rien de grave n’est-ce pas Docteur ?
- Non Madame juste un petit début de pharyngite. Vraiment rien de méchant. Je l’ausculterais demain soir à son retour et avant mon départ.
- C’est vrai que vous restez le Week-end. Ma belle-fille et mon fils vous héberge souvent les fins de semaine à ce que Margot m’a dit.
- Euh… Oui Madame, ils ont la gentillesse de me recevoir pendant mes gardes. C’est plus simple…
- Comme vous dites… C’est plus simple. Merci Docteur.
Ma mère se tourne vers Margot et moi
- Je vais la ramener et la garder. Je suis sûre que cela sera mieux pour tous. Raccompagne moi à la voiture mon chéri.
- Tu es sûre Maman ?
- Oh oui je suis sûre mon chéri, je suis sûre.
Et après avoir installé la petite et s’être installée au volant, elle baisse la vitre :
- Tu sais André, tu as vraiment de la chance de l’avoir ; alors fais tout pour la garder. Et ce jeune Docteur est vraiment magnifique.
- Mais Mam…
- Stop Chéri, tu as toujours été mon préféré, alors écoute moi et vivez votre vie comme vous l’entendez. J’ai de la peine pour toi mais je me dis que c’est mieux que plus de couple du tout, et si ce jeune docteur est seul pour les fêtes, invite le à notre table, je suis certaine que ta femme serait très heureuse de le savoir avec nous.
Je reste sans voix et figé par la proposition de ma mère.
Et elle démarre, me plantant là.
Dans la cuisine Kemb dit que ma mère est une grande bonne femme. Margot ajoute admirative :
- Et elle sait tout.
Elle a tout deviné… Et rien dit
- Tant mieux ma Gazelle
J’ajoute perplexe..
- Elle a invité Kemb pour les fêtes s’il est seul.
- Ta maman est une sacrée bonne femme, le cocu. T’attends quoi pour aller remettre ton plugg. Tu le gardes toute la matinée. Viens ma Gazelle cette histoire m’a bien chauffée. J’ai une super gaule.
Quand je reviens dans la cuisine, Kemb est assis sur une chaise sans son short et jambes largement écartées. Sa grosse tige brune pointe vers le plafond. Margot s’est débarrassée de son peignoir. Elle est nue, à genoux entre les jambes de son amant. Elle branle le mandrin couleur ébène dressé vers le ciel. Le sexe est éclairé par un rayon de soleil hivernal. Il est magnifique.
Je suis toujours fasciné par la taille et les dimensions de l’engin. Non pas qu’il soit disproportionné, mais il est long et massif avec une hampe bien droite coiffée d’un gros gland circoncis. Même quand Margot le prend avec ses deux mains, il dépasse encore.
Margot le branle lentement, donne des petits coups de langue sur le méat, lèche les couilles, puis prend l’engin en bouche et le rentre aux maximum de ses capacités buccales. A ses mimiques on devine aisément qu’elle aime ce qu’elle fait. Elle lèche les grosses boules noires en caressant les cuisses de marbres.
- Régale-toi ma Gazelle. Montre à ton mari comme tu aimes ma bitte. T’imagines un peu si la mère de ton cocu voyait cela.
Il rigole en me regardant. La bitte est bien droite, bien dure, luisante de salive sur toute la longueur. Les couilles sont lourdes. Je regarde ma femme honorer cette virilité noire. La dorloter, malaxer les grosses boules dures. Sa langue la parcoure de la racine au gland. Le sexe semble énorme par rapport au visage de Margot. On sent qu’elle se régale. Qu’elle adore câliner l’engin de son amant.
- Va chercher du gel le cocu. Fais plaisir à ta femme. Sois obéissant.
Et quand je reviens.
- Baisse ton froc et viens à genoux à coté de ta femme.
Tu vas faire comme elle. Montre-nous ta rondelle avant.
Je leur présente mes fesses, me penche et les ouvre. Je suis excité. Ils peuvent parfaitement voir le plugg à nouveau fiché dans mon anus. Je l’ai remis de moi-même sans me poser de question sur un tel acte qui prouve mon degré de soumission. Je sais que cela excite énormément Margot de me savoir équipé de la sorte.
- Branle moi avec du gel.
Je branle la colonne noire, puis étale le gel sur toute la longueur. Je le fais avec application pendant qu’il embrasse goulument ma femme en lui doigtant la chatte.
- Assieds-toi sur ma teub ma Gazelle. J’ai envie de visiter ton cul ma douce.
Ma femme a un moment d’hésitation.
- Allez ! Oui vas-y je veux que tu t’encules sur elle.
C’était presque un ordre… Auquel ma femme obéit.
Margot enjambe les cuisses musclées et positionne ses fesses au-dessus de la colonne d’ébène. Kemb tient son membre bien droit et Margot descend lentement dessus. Yeux fermés, respiration palpitante, elle s’empale doucement sur le mandrin, lèvres serrées, narines frémissantes. A la fourche de ses jambes on voit son intimité s’ouvrir un peu. Elle mouille. Les chairs nacrées brillent.
A genoux à la droite du couple, je vois parfaitement les fesses blanches absorber lentement le pieu noir. Margot se crispe à mi-chemin.
- Décontracte moi ma Gazelle, tu as l’habitude maintenant. Tu aimes être enculée par nos bittes. Je vais t’aider un peu.
Kemb écarte ses jambes obligeant Margot à en faire de même et inexorablement, s’ancrer sur le pénis aussi dur que du bois. Ma femme pousse un long soupir de bien-être. Moi aussi j’avais retenu mon souffle. Le sexe est entièrement fiché dans son cul. Son vagin est ouvert devant mes yeux. Brillant de sécrétion. Effluves intimes qui chatouillent mon nez. Mon regard se fixe sur la chatte coulante de mon épouse empalée sur le pieu de son amant.
- Ton petit impuissant à envie de mieux voir non ?
Kemb passe ses mains derrière les genoux de Margot pour lui relever les jambes en les écartant. Devant mes yeux, la chatte luisante de mouille s’ouvre et on voit les deux grosses couilles collées à l’anus de mon épouse. Je reste fasciné par le spectacle. Margot gémis doucement et commence à chevaucher lentement son amant dans des mouvements de reins lascifs.
- Viens me lécher les couilles le cocu.
Sous son emprise, je lui obéis et lèche les grosses boules, puis la chatte de ma femme. J’adore l’odeur et le goût de ma femme. Les boules noires sont dures, la hampe pistonne lentement le cul de mon épouse qui commence à feuler.
Le rythme s’accélère et Margot commence à pousser des cris de plaisir. De plus en plus fort. Elle mouille et sa cyprine coule dans ma bouche. J’en étale une partie sur les couilles. Margot crie :
- OOOOH oui...ouiiiiiiiiiiii. Encore... Oh oui Kemb. Plus fort. Plus fort.
Kemb lui casse le cul en puissance. Maintenant que je sais ce qu’est la sodomie, je me demande comment elle peut supporter de tels coups de boutoir dans ses entrailles. Je ne bouge plus. Ma langue collée contre la chatte dégoulinante. Ce sont les mouvements du couple qui permettent le léchage des couilles et de la chatte écartelée et coulante.
Margot jouis d’un coup en hurlant le nom de son amant. Il l’a plantée de toutes ses forces sur sa hampe.
- Putain ce que t’es bonne Margot !
Il se vide en elle en reprenant son souffle. Ma femme reste inerte sa main en appui sur mes cheveux. Une poupée empalée sur le vit de son amant.
- Allonge-toi sur le sol le cocu.
J’obéis encore troublé et excité par ce qui venait de se passer. Le plugg bouge dans mon fondement, ajoutant à la situation.
- Vas lui offrir ton cul ma Gazelle, il va bien te le nettoyer.
- Non Kemb pas la peine. C’est bon. C’était superbe.
Ma femme est gênée. Je me couche sur le sol sans rien dire.
- Mais si ma Gazelle, il adore cela ton cocu de mec. Regarde. Il va se branler en te nettoyant le cul. Vas-y la taffiole branle toi !
Après quelques secondes d’hésitation, elle se lève lentement pour venir à cheval sur moi. Ses fesses au-dessus de mon visage. Je me masturbe devant eux. C’est la première fois. Mon sexe reste mou. Je suis excité.
- Montre lui ton trou du cul.
Elle s’accroupie au-dessus de mon visage, ouvre ses fesses et je vois parfaitement le cratère bistre encore ouvert. Les plis de chairs sont marqués de sécrétions blanchâtres et la corolle annale irritée et dilatée laisse perler les mêmes matières.
- Vas-y le cocu ! Régale-toi.
J’ai nettoyé et bu avec application jusqu’à ce que Margot se redresse et comme si cela ne suffisait pas.
- Viens nettoyer ma queue maintenant.
Et j’ai obéis devant ma femme déroutée par tant de passivité.
- Tous comptes fait, c’est bien que la mère de ton mari soit passée. Comme cela les femmes de la famille savent ce qu’est devenu ton mec.
La bouche chargée d’un mélange de goûts, je suis parti me débarrasser du plugg et finir de me branler dans la salle de bain. Ma bitte a légèrement durci avant de cracher une pauvre semence.
Margot me rejoint sous la douche. Se colle contre moi. Colle ses lèvres aux miennes en me flattant les couilles.
- Merci mon amour.
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Le lendemain de la fête zouk, on est dimanche. Les images vues la veille me troublent. J’essaye de comprendre les sous-entendus de Kemb. Il avait dit ‘’bientôt’’ devant la salope qui se faisait baiser par une troupe de blacks.
Pensif, je prépare le petit-déjeuner pour nous trois.
Nous avons pris l’habitude de le partager dans notre chambre, les trois ou les quatre. La porte est ouverte. Margot est en levrette ! Devant moi. Presque prosternée, fesses ouvertes. Son anus est béant ! Kemb couché à coté a la bitte encore droite et maculée de sécrétions diverses.
Il me montre le cul de ma femme et son mandrin.
- Ton petit-dej est servi mec… Regarde, elle a le cul tout chaud !
Ma femme tortille son cul dans une gestuelle sordide. Son anus coule.
- Commence par ta femme, elle a trop envie que tu lui nettoie le cul.
Je pose le plateau et approche mon visage de sa raie rougie. Il ajoute moqueur.
- Après tu auras plus consistant Didou Chéri…
J’ai obéis sans rien dire. De toute façon il n’y a rien à dire. Je suis excité. Mais sans vraiment bander. Et cela me rend impuissant physiquement et moralement.
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A ma grande surprise le réveillon chez mes beaux-parents se passe super bien. Une vraie réunion de famille et Kemb a une tenue impeccable. D’une courtoisie de gentleman anglais. Il répond aux questions sur son pays, ses parents avec beaucoup d’humour.
Il ne nous avait jamais parlé de sa famille. Margot et moi découvrons avec surprise qu’il fait partie d’une des plus grandes, plus vieille et plus riches famille de l’île. Qu’un de ses frères plus âgé travaille à Singapour et que sa sœur est restée avec ses parents. On devine une aisance financière et une éducation de grande famille. Il a des dons de conteurs.
Bref il subjugue l’assemblée et personne, à part ma mère, personne ne peut se douter de ce qui se passe vraiment à la maison. Ce fût un beau réveillon.
Sauf que de retour chez nous, après avoir couché les s, nous retrouvons Mathieu qui revient de chez une de ses meufs. Les deux garçons hilares tendent à Margot son cadeau de Noël.
Margot ravie ouvre le paquet pour découvrir une ceinture god.
J’étais effaré, Margot déconcertée et eux riaient aux éclats comme des gamins qui ont fait un bon tour.
- Avec ça ma Gazelle tu seras l’homme de la maison….
- Et en plus on peut mettre un double god ajoute Mathieu, un pour lui et un pour toi… Tu vas pourvoir jouir en baisant ton mec. Aller on vous laisse. Amusez-vous bien les amoureux.
Ils filent à regret. Les s sont là. C’est Noël.
Margot perplexe range son cadeau dans la commode.
- C’est vraiment des gamins… C’est un drôle de cadeau.
Nous nous préparons en silence pour la nuit.
- Non Didou ne mets pas de pyjama, j’aimerais te sentir contre moi. Je veux pas être loin de toi la nuit de Noël.
Elle ajoute en riant
- Mais demain on met vite des fringues avant que les petits monstres déboulent nous réveiller. Viens Chéri serre moi fort.
Nous nous endormons nus l’un contre l’autre.
Je prends cela comme un cadeau de Noël.
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Kemb a été avec nous en famille, le dimanche de la galette des rois et deux autres dimanches. C’était vite devenu une habitude. Ma mère le trouvait de bonne facture comme elle dit. Elle était la seule à comprendre son rôle chez nous. Personne ne trouvait à redire sur sa présence dans la famille.
Heureusement personne ne connaissait non plus les relations réelles entre nous, ni le pouvoir qu’il exerçait sur notre couple. Et aucun membre de la famille ne pouvait imaginer qu’il nous baisait à volonté et que mon anus était comme une chatte supplémentaire à la disposition de cette queue toute puissante.
Que diraient toutes ces personnes d’une bourgeoisie si respectable si elles découvraient que nous étions sans slip ni caleçon, qu’il restait encore des traces de spermes au fond du sexe de Margot, que mon haleine sentait encore les fluides corporels de l’amant, ou que j’avais l’anus encore dilaté, d’avoir porté le plugg toute la matinée.

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